Faire attention à l’hydratation

Un bébé ne parle pas encore et ne s’exprime qu’avec les pleurs. De plus, s’il n’est âgé que de quelques semaines, il n’est pas encore capable de vous montrer explicitement ses besoins. C’est donc à vous qu’il revient de l’hydrater correctement durant le voyage. Si un bébé ne se nourrit encore que de lait, veillez à ce que la quantité soit suffisante. Aussi, hydratez sa peau, car le voyage peut être assez agressif pour le bébé.

Prévenir le changement de climat

Si vous partez dans un endroit où le climat n’est pas le même, essayez d’adapter votre bébé à la nouvelle température avec douceur. Munissez-vous des vêtements adéquats à vos côtés pour pouvoir changer les vêtements de bébé selon la température.
Toutefois, ne changez pas le bébé brusquement. Il est préférable de le faire par étape, afin que son corps puisse détecter le changement.

Prévoir des protections contre le bruit

Si vous voyagez en avion, sachez que le bruit des réacteurs peut gêner votre bébé. Essayez donc de trouver une place loin du bruit pour votre trajet. Aussi, lors du décollage et de l’atterrissage, veillez à boucher les oreilles de votre bébé. L’isoler du bruit lui permet de garder son calme.

Anticiper les petits incidents

En voiture, en train ou en avion, gardez toujours une tétine et des couches à portée de main. En effet, votre bébé peut faire une petite crise à n’importe quel moment, ce qui risque de gêner les autres passagers.

Rester visible sur la route

Le premier risque que courent les voyageurs à vélo c’est de se faire heurter par les voitures sur la route. Surtout si la voie empruntée est une route partagée. Que ce soit de jour ou de nuit, ce qu’il essentiel à faire, c’est de rester bien visible sur la route. Il est important que les automobilistes puissent remarquer la présence du vélo même à une grande distance.
Afin de rester visibles sur les routes, les cyclistes doivent adopter de grandes sacoches de voyages sur leur dos. Si ce n’est pas très évident, ils peuvent porter des gilets jaunes qui attirent le regard des automobilistes. Poser des lumières rouges ou des bandes réfléchissantes est aussi une bonne option.

Se protéger en cas d’accident

Les risques d’accident sont assez fréquents pendant un voyage à vélo. En général, cela est dû à la qualité de la route sur laquelle pédaler. Heureusement, les chutes accidentelles ne sont pas très graves, car elles peuvent être amorties par le poids du bagage porté sur le dos.
Par contre, il est essentiel de porter les bons accessoires de protection. On parle bien évidemment du casque, mais aussi des gants et des genouillères pour éviter le maximum de dégâts. Il est aussi conseillé d’avoir une assurance voyage pour une meilleure prise en charge.

Ce que vous devez déclarer

Pour les sommes d’argent, liquides ou chèques, vous pouvez emmener avec vous jusqu’à 10 000 euros ou l’équivalent en d’autres monnaies. Il en est de même pour les titres telles que les actions et les obligations. Mais vous devez les déclarer à la douane, au service concerné, c’est la loi. Cette démarche est importante car entrant dans la lutte contre le blanchiment d’argent provenant de trafics de drogues ou d’organes ou d’êtres humains, etc. Il vous faut savoir que si jamais vous oubliez de faire cette déclaration ou si, par inadvertance, votre déclaration est quelque peu erronée, vous risquez une amende égale au quart de la somme sur laquelle a porté la fausse déclaration. La sanction peut aller jusqu’à la confiscation totale de la somme par la douane. Vous avez donc tout intérêt à déclarer clairement de telles sommes, titres ou valeurs que vous avez sur vous lors de votre voyage.

Ce que vous devez déclarer

Ci-après les titres et les valeurs que vous êtes obligé de déclarer : les chèques au porteur, les billets de banques et les pièces de monnaie, les effets de commerce non domiciliés, les chèques dont le tireur n’est pas le bénéficiaire, les bons de caisse anonymes et les mandats. Mais ce n’est pas tout. Vous devez aussi déclarer les lettres de crédits non domiciliées, les bons de capitalisation et les valeurs mobilières ainsi que d’autres titres de créances négociables au porteur ou endossables. Et si un transfert physique s’effectue à partir ou vers un pays de l’Europe, vous devez déclarer les jetons, les plaques, les tickets de casino, les lingots d’or et les pièces d’or qui ont une valeur de cotation sur le marché et enfin la monnaie électronique.

L’actualité

Le fait est que, depuis quelques années maintenant, la restauration commerciale est confrontée à un problème de taille. De quoi s’agit-il ? Il y a désormais, sur notre territoire, et de plus en plus -est-il utile de le préciser ?- ce qu’on appelle des circuits alimentaires alternatifs. Ces circuits ont très vite pris une grande place sur le marché, car aujourd’hui, ils représentent (déjà) 15 % des dépenses de restauration. Et tout semble montrer que cela va aller en augmentant. On veut parler ici de ces offres de restauration rapide en charcuteries, en boulangeries et pâtisseries, mais aussi dans la grande distribution, ainsi que les plateformes de livraison de repas à domicile. Toutefois, il faut souligner le fait que le gouvernement accompagne cette filière qui est, sans nul doute, l’un des facteurs d’attractivité de la France. En effet, quel étranger en vacances en France ne rêve pas de la si célèbre gastronomie française ? Et puis, il faut dire que sur le plan social, c’est aussi une filière qui joue un rôle important. Comment cela ? Eh bien, parce qu’elle recrute énormément surtout chez les jeunes et même parmi ceux qui ne possèdent pas de qualification particulière.

Maître restaurateur et « fait maison »

Le titre de maître restaurateur désigne les meilleurs professionnels de la restauration traditionnelle. La qualification se fait sur la base d’un cahier des charges et a été mise en place pour mettre en valeur la cuisine française traditionnelle. C’est un titre délivré par le préfet du département pour une durée de 4 ans. Il existe 3 800 maîtres restaurateurs en France aujourd’hui. Le « fait maison » est une mention désigne les plats élaborés sur place par le chef ou le cuisinier. C’est un logo qui doit être affiché de manière visible sur les menus, les cartes, le site internet et d’autres supports du restaurant.

Les tristes constats…

Bien que ces animaux ne soient pas dans leur environnement naturel, les responsables des zoos font en sorte que l’endroit ressemble le plus possible à leur habitat naturel. Il faut dire que de nombreux animaux sont dans l’incapacité de se reproduire dans un milieu différent de celui auquel ils sont habitués. Et si un zoo n’arrive pas à construire cet environnement favorable, le bien-être des animaux en question est en péril, leur survie, de même que les générations futures. Il est triste de constater qu’en France, parmi les 300 zoos déclarés, il y en a qui font fi de l’hygiène, des conditions de vie et d’autres facteurs essentiels aux pensionnaires qu’ils abritent. Ce qui a poussé des associations de protection animale à tirer la sonnette d’alarme sur ces zoos qui semblent se contenter d’engranger des profits et d’étoffer leur collection d’animaux sans se soucier de la santé, du quotidien, de l’alimentation, etc. de ces animaux.

Un exemple à suivre : le zoo de Beauval

Le zoo de Beauval est un zoo qui se démarque des autres de par la qualité des soins, de l’environnement, de l’hygiène qui y prévaut, des valeurs qui y sont prônées, etc. Par exemple, les pesticides y sont interdits, de même que l’utilisation de l’huile de palme dans ses restaurants. Sur les bâtiments abritant les éléphants, ce sont des panneaux solaires qui sont utilisés et c’est du fumier qui est transformé en électricité. Outre la préservation des animaux, le zoo de Beauval s’attache également à la préservation de l’environnement. En terme d’écologie, ce parc animalier représente un exemple de choix depuis ses débuts. Tout au long de l’année, ce sont plus de 60 soigneurs qui sont au service des animaux et plus de 600 personnes y travaillent durant la haute saison. Toutes ces raisons expliquent pourquoi ce parc animalier figure parmi les 10 plus beaux et plus célèbres zoos au monde ! Et le nombre de visiteurs ne cesse de croître année après année, dépassant de loin le million, seuil franchi depuis que le parc y a emmené le fameux couple de pandas géants en 2012. Le parc abrite aussi d’autres animaux introuvables dans n’importe quel zoo français.

La réalité

Le parc animalier de la Pinède des Singes, en liquidation judiciaire en 2016, a été accusé de manquement au niveau de la sécurité, de l’espace, de l’hygiène, etc. Trop de conditions non remplies, et bien qu’un repreneur se soit prononcé pour acheter la centaine de macaques de Java qui en constituait l’attraction principale et le terrain, celui-ci a désisté et au final, la totalité des macaques a été euthanasiée, sous prétexte qu’ils étaient porteurs d’un virus dangereux. L’affaire a fait grand bruit mais le dossier a été clos, sauf que ce fut une occasion pour les associations de protection animale de mettre le doigt sur la réalité de certains établissements de ce genre. Ceux-ci prétendent avoir comme objectif la protection des espèces en voie de disparition mais en vérité, il n’en est rien. Il faut avouer également qu’il est quasi impossible de reproduire à la perfection l’habitat naturel des animaux sauvages, même avec les meilleures intentions et les meilleures conditions qui soient. Ce qui veut dire que ces animaux ne peuvent tout simplement pas exercer certains de leurs comportements innés et pourtant vitaux. Ce peut être le vol, la course ou la reproduction. Se trouver dans un zoo pour la plupart des animaux est une privation de leur liberté et cela leur cause des souffrances mentales et physiques que l’on ne soupçonne pas toujours. La captivité limite les stimulations mentales et les exercices physiques. Et l’on constate malheureusement ce qu’on appelle «zoochose », un comportement destructeur et anormal de la part de certains animaux les plus touchés.

Les annonces factices

Cette forme d’escroquerie est très classique. Les escrocs proposent des biens à louer aux touristes en récupérant les annonces et les photos sur Internet et en se faisant passer pour le propriétaire. Il vous demande ensuite de payer un acompte en guise de réservation avant de disparaître, en vous laissant une très grosse surprise : le bien a été à louer mais par le vrai propriétaire qui l’avait déjà octroyé à d’autres vacanciers. Ce sont surtout les biens se trouvant à l’étranger qui sont concernée par ce type d’escroquerie. IL arrive aussi que l’adresse n’est pas celle du bien en question, mais de celle d’un restaurant ou d’un snack.
Si vous êtes victime de ce genre d’arnaque, il est inutile de paniquer et penser à contacter votre assurance. Vous devez également avertir les autorités pour traquer l’arnaqueur. Avant de faire la réservation d’un bien, demandez toujours des garanties auprès du « propriétaire ».

Les soi-disant bonnes affaires

Les locaux profitent toujours de la naiveté des touristes pour réaliser des bonnes affaires. Si la plupart des cas, ces bonnes affaires sont authentiques. Cependant, pour certaines personnes, cela peut être une occasion de vous duper. Souvent, cela peut concerner des pierres précieuses ou encore des bijoux en or, qui après tests, n’est que de 10 carats. Pour éviter de se faire avoir, il ne faut pas se laisser tenter par des achats compulsifs et acheter les souvenir dans les zones dédiées. Il arrive que l’on vous propose de changer d’hôtel en vous permettant profiter d’une bonne affaire alors qu’il n’en est rien. Le rabatteur peut également vous approcher en pretextant être un étudiant qui souhaite apprendre votre langue, alors qu’il est déjà en accord avec des soi-disant restaurateur ou propriétaires d’un gîte dans l’unique but de vous dépouiller. Si vous vous sentez perdu, prenez contact avec un guide reconnu et certifié.

Les réparations à prix exhorbitant

Ce type d’escroquerie est très fréquent dans les contrats de location de voiture, de scooter ou de jetski. Vous avez rendu le véhicule et les clés, et le propriétaire ou l’agence de location vous interpelle en prétextant de nombreuses avaries. Il fait un soi-disant technicien qui est disponible et qualifié pour résoudre le problème, qui vous demande les frais de réparation exorbitant alors que celui-ci est de mèches avec le propriétaire. Si vous avez souscrit à une assurance, alors vous pourrez être pris en charge, mais dans le cas contraire vous devez tout payer de votre poche. Pour éviter un tel désagréement, pensez à louer votre véhicule chez un loueur international et n’oublier jamais de faire un état des lieux avant de prendre les clés.